Recueils
de
Poéziie
Recommandations sur l'utilisation des écrits
Le passage de l'antre deux vies
(Décembre 2009)
Non disponible sur ce site - sur demande exceptionnellement
Trois poèmes tirés de ce recueil :
Juste une question d'équilibre
Chemins de traverse Entre deux inspirations
Entre ciel et terre (mars 1998)
(Recueil de 53 pages à télécharger au format Pdf)
Amoureux de la nature et de la diversité de la campagne française, l'auteur la décrit et la met en relief à travers les dérives de la ville et de la société dans deux recueils de poésie, en 1997 "Arc en ciel" puis en 1998 "Entre ciel et terre"
(extrait de la biographie de Cyril Suquet).
Village Jardinage sur fond rose
Pleins feux sur un champ de courses
Le recueil est aussi accessible sur le site Galerie Création
(Recueil de 40 pages à télécharger au format pdf)
L'arc-en-ciel, pure magie de la nature, vu est décrit ici sous toutes ses coutures et couleurs. Après l'orage, le soleil ! Que cache l'arc-en-ciel, en réalité ? La beauté infinie de la nature ou alors à l'inverse, une certaine cruauté et pluie de désolations, à l'image de celle des hommes. Chacun fait son chemin vers son propre arc-en-ciel, quel sera le vôtre... ?
Deux poèmes tirés du recueil :
Arc-en-ciel (Acrostiche)
Qu'est-ce qu'un acrostiche ? : c'est un poème fondé sur une figure de style consistant en ce que les initiales de chaque vers, lues verticalement de haut en bas, composent un mot ou une expression se rapportant au sujet du poème.
et une série de 8 poèmes :
8 poèmes tirés du recueil sur les 8 couleurs qui composent l'arc-en-ciel
Documents en format Pdf
Vers et revers sur l'échiquier
Entrez dans le labyrinthe des échecs; que vous regardiez cet art d'un oeil connaisseur, médusé, douteux, passionné ou même inconnu, vous vous perdrez dans les cases aux mille destinées.Phases de jeu infinies, suspens haletant, concentration hors paire, tactiques et combinaisons préméditées, font des échecs une science ludique unique, une gymnastique de l'esprit sans égal.A vous de jouer et de juger en vers ou contre la magie des échecs.
Deux poèmes tirés du recueil :
(mars 1997)
(Recueil de 114 pages à télécharger au format pdf)
Je dédie ce recueil à tous les passionnés du rêve, les inconscients réalistes, les laissés pour compte de la barbarie humaine et à toux ceux qui se reconnaîtront de près ou de très loin dans la longue marche de l'insouciance collective et silencieuse.
Cinq poèmes tirés de ce 1er recueil de poésies :
Lire les autres Poèmes "Vers de terre et d'ailleurs" de Cyril SUQUET
Lire les aventures de MoMo
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A l'aube de sa mort, l'homme tout de blanc vêtu,
Est devenu fou, quelques cases l'ayant délaissé sur le chemin.
Il contemple son passé avec un regard mélancolique.
Nostalgie ou regrets, nul ne le sait.
Il ne laisse apparaître aucune émotion.
Renfermé dans son univers aux milles conventions,
Rites et facéties ont rythmé ses jours et ses nuits.
Jouer jusqu' à en perdre sa personnalité
Et se transposer sur les petits acteurs en bois.
Il s'ouvre et s'expose continuellement.
Toutes ses tensions et sensations sont concentrées sur le jeu.
Sa plus longue partie vient de s'achever sur un match nul
Cette issue ne lui convient pas.
Comment a t-il pu en arriver à cette situation si dérisoire ?
Match nul ! sa vie en est réduit à ceci.
Il a tout sacrifié et le voici dans une impasse.
A son âge, il ne peut reprendre un autre chemin
Sur le grand échiquier de la vie.
Le joueur d'échecs est piégé, enfermé dans un étau
Qui jour après jour, se resserre inéluctablement.
Accompagné de sa Dame, il pourrait d'un trait noir
Effacer le passé et avancer de nouveau.
Il le sait, chaque partie est un éternel recommencement,
Une nouvelle remise en cause.
Mais le joueur d'échecs a plusieurs facettes.
Passionné et gagneur, il ne prend jamais de risques non calculés.
Il foisonne d'idées, de solutions enthousiastes
Mais la raison revient toujours au galop et l'emporte.
Le match nul peut être le cas échéant
Préférable à une nouvelle déroute.
Ainsi en décida le joueur d'échecs,
Qui le dernier jour de sa vie, en guise de dénouement,
Se fit un petit roque pour ne pas perdre la main.
Toute autre issue eusse été déraisonnable,
Autant en terminer ainsi sur l'annonce du résultat : Match nul !
Cyril Suquet, juin 1997
(Tiré du recueil "Vers et revers sur l'échiquier" ©)
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